Lesfunérailles rassemblent les familles et les amis autour d’un lien commun : le défunt.C’est donc l’unique et dernière occasion pour les proches de rendre un dernier hommage à l’être aimé. Puisque les obsèques sont une occasion de célébrer la vie du défunt et de le laisser partir pour un monde meilleur, les textes d’enterrement sont donc nécessaires durant ces moments forts. Unnombre de plus en plus important d'écoles préparent un enseignement intitulé : « Comment vivre à la manière homosexuelle ». On est en train d'endoctriner les jeunes enfants sur la spécificité de la vie homosexuelle. • Le militantisme homosexuel pousse le niveau un peu plus haut dans l'église. La dénomination Épiscopale a Maisje suis sûr qu'un jour ou l'autre j'arriverai à la gare centrale et je les reverrai tous arriver avec un bagage qu'ils n'avaient pas quand il sont montés dans le train. Par contre je serai heureux d'avoir contribué a augmenter et enrichir leur bagage. Nous tous mes amis, faisons tout le possible pour faire un bon voyage Cest ça le train d'la vie, vive la vie ! Mais si tu manques la marche. On n'en parle plus. Le train de la vie. C'est un joli petit train. Qui te mène du berceau. Jusqu'à la fin de la fin. Il fait des "Youp". Des "Bravos" des "Oulàlà". Letrain de la vie Bernard Deletang Le train de la vie Nous sommes tous dans le même train mais pas avec la même égalité. Lire cette oeuvre Lire plus tard Suggérer des corrections Rejoignez nos plus de 80 000 membres amoureux de lecture et d'écriture ! Discoursde mariage; Voeux de mariage; Discours d’enterrement; Discours d’anniversaire; Autres modèles de discours; Se faire écrire un discours; SMS. SMS d’amour; SMS bonjour et bonne nuit; Sexto; SMS d’excuse; SMS pour les occasions; SMS pour récupérer son ex; SMS de rupture; Commander des SMS inédits; Textes. Textes d’amour de Léa Ol6l. Texte 1 Le train filait, à toute vapeur, dans les ténèbres. Je me trouvais seul, en face d'un vieux monsieur qui regardait par la portière. On sentait fortement le phénol dans ce wagon du venu sans doute de Marseille. C'était par une nuit sans lune, sans air, brûlante. On ne voyait point d'étoiles, et le souffle du 5 train lancé nous jetait quelque chose de chaud, de mou, d'accablant, d'irrespirable. Partis de Paris depuis trois heures, nous allions vers le centre de la France sans rien voir des pays traversés. Ce fut tout à coup comme une apparition fantastique. Autour d'un grand feu, dans un bois, deux hommes étaient debout. 10 Nous vîmes cela pendant une seconde c'était, nous sembla-t-il, deux misérables en haillons, rouges dans la lueur éclatante du foyer, avec leurs faces barbues tournées vers nous, et autour d'eux, comme un décor de drame, les arbres verts, d'un vert clair et luisant, les troncs frappés par le vif reflet de la flamme, le feuillage traversé, pénétré, mouillé par la lumière qui coulait dedans. 15 Puis tout redevint noir de nouveau. Certes, ce fut une vision fort étrange! Que faisaient-ils dans cette forêt, ces deux rôdeurs? Pourquoi ce feu dans cette nuit étouffante? Mon voisin tira sa montre et me dit "Il est juste minuit, Monsieur, nous venons de voir une singulière chose." 20 J'en convins et nous commençâmes à causer, à chercher ce que pouvaient être ces personnages des malfaiteurs qui brûlaient des preuves ou des sorciers qui préparaient un philtre? On n'allume pas un feu pareil, à minuit, en plein été, dans une forêt, pour cuire la soupe? Que faisaient-ils donc? Nous ne pûmes rien imaginer de vraisemblable. Les meilleurs professeurs de Français disponibles4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 111 avis 1er cours offert !4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 111 avis 1er cours offert !C'est partiQuestions I°/ La situation initiale ................ Ligne 1 à 7 1 - Qui est le narrateur ? Justifiez. 2 - Quel est le point de vue qu'il adopte ? Justifiez. 3 - Quand et où l'action se déroule-t-elle ? Justifiez 4 - Quelle atmosphère règne-t-il dans ce train ? Relève le champ lexical approprié. 5 - Quelles sensations cette atmosphère créet-t-elle chez le narrateur ? Relevez-en deux dans le texte. 6 - quel est le temps utilisé dans ce passage ? Justifiez cet emploi donnez sa valeur. II°/ L'apparition ................... Ligne 8 à 13 7 - Quelle expression le narrateur utilise-t-il pour annoncer l'arrivé de l'élément perturbateur ? 8 - Quel est le temps employé ? Justifiez son emploi donnez sa valeur. 9 - Relevez et analysez deux expansions nominales se rapportant à "lueur", ligne 11. 10 - Dans ce même paragraphe, relevez et analysez une proposition subordonnée relative. III°/ Les personnages 11 - Quels types de phrases sont utilisés aux lignes 16 et 17 ? 12 - Des lignes 16 à 19, relevez deux adjectifs qui montrent qu'on bascule dans le fantastique. 13 - En quoi peut-on parler d'un texte fantastique ? Votre réponse sera justifiée. Barème Partie I points → Question 1 point → Question 2 point → Question 3 1 point → Question 4 point pour l'atmosphère et 1 point pour le champ lexical points au total. → Question 5 2 x → Question 6 pour le temps et point pour sa valeur 1 point au total Partie II 5 point → Question 7 1 point → Question 8 point pour le temps et point pour sa valeur 1 point au total. → Question 9 2 points 1 point par expansions juste → Question 10 1 point Partie III point → Question 11 1 point pour les types de phrase et 1 point pour les sentiments 2 points au total. → Question 12 2 x → Question 13 points Rédaction Vous aussi, vous avez vécu des évènements étranges. Racontez cette expérience dans un récit fantastique au passé. Consignes Votre texte comportera des passages descriptifs et narratifs, et trois paragraphes 1. les circonstances, 2. l'évènement, 3. les réflexions, les réactions. Le Train De La VieLa vie est pareille a un trainChaque stations est une étapeCertains descendentD’autres stagnent au même endroitCe n’est qu’une question de choixDescendre de ce train est risquéMais il faut avancerVas, découvre, apprendTel un jeune arbre au printempsFait germer le fruit de ta penséeEt plus tardReviensD’un pat sur et certainTend ta mainPour transmettre ton savoirA celui qui voudra le recevoirSyllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Le Train De La Viela=vieest=pa=reille=a=un=train 7cha=que=sta=tions=est=uneé=tape 7cer=tains=des=cendent 4dautres=sta=gnent=au=mê=meen=droit 7ce=nest=quune=ques=tion=de=choix 7des=cendre=de=ce=train=est=ris=qué 8mais=il=faut=a=van=cer 6vas=dé=cou=vre=ap=prend 6tel=un=jeunear=bre=au=prin=temps 7fait=ger=mer=le=fruit=de=ta=pen=sée 9et=plus=tard 3re=viens 2dun=pat=sur=et=cer=tain 6tend=ta=main 3pour=trans=mettre=ton=sa=voir 6a=ce=lui=qui=vou=dra=le=re=ce=voir 10Phonétique Le Train De La Viela vi ε paʁεjə a œ̃ tʁɛ̃ʃakə stasjɔ̃z- εt- ynə etapəsεʁtɛ̃ desɑ̃dedotʁə- staɲe o mεmə ɑ̃dʁwasə nε kynə kεstjɔ̃ də ʃwadesɑ̃dʁə də sə tʁɛ̃ ε ʁiskemεz- il fo avɑ̃seva, dekuvʁə, apʁɑ̃tεl œ̃ ʒənə aʁbʁə o pʁɛ̃tɑ̃fε ʒεʁme lə fʁɥi də ta pɑ̃see plys taʁʁəvjɛ̃dœ̃ pa syʁ e sεʁtɛ̃tɑ̃ ta mɛ̃puʁ tʁɑ̃smεtʁə tɔ̃ savwaʁa səlɥi ki vudʁa lə ʁəsəvwaʁSyllabes Phonétique Le Train De La Viela=vi=ε=pa=ʁεjəa=œ̃=tʁɛ̃ 7ʃakə=sta=sjɔ̃=zε=ty=nəe=tapə 7sεʁ=tɛ̃=de=sɑ̃=de 5do=tʁəs=ta=ɲe=o=mεməɑ̃=dʁwa 7sə=nε=kynə=kεs=tjɔ̃=də=ʃwa 7de=sɑ̃dʁə=də=sə=tʁɛ̃=ε=ʁis=ke 8mε=zil=fo=a=vɑ̃=se 6va=de=ku=vʁə=a=pʁɑ̃ 6tεl=œ̃=ʒə=nəaʁbʁə=o=pʁɛ̃=tɑ̃ 7fε=ʒεʁ=me=lə=fʁɥidə=ta=pɑ̃se 7e=plys=taʁ 3ʁə=vj=ɛ̃ 3dœ̃=pa=syʁ=e=sεʁ=tɛ̃ 6tɑ̃=ta=mɛ̃ 3puʁ=tʁɑ̃s=mεtʁə=tɔ̃=sa=vwaʁ 6a=səl=ɥi=ki=vu=dʁalə=ʁə=sə=vwaʁ 9 Historique des Modifications Commentaire Sur La Poesie25/08/2016 2350CoburitcLe train de la vie , beaucoup de chansons sur ce sujet , le petit train des Rita l’une des plus belle. Jean-Pierre Sciences Passeur de sciences Publié le 30 septembre 2015 à 19h01 Temps de Lecture 4 min. Par ses fables, Jean de La Fontaine avait pour ambition de se servir "d'animaux pour instruire les hommes". La fable qui ouvre son premier recueil est la célébrissime historiette de La cigale et la fourmi, inspirée d'Esope. Si l'écrivain grec montre, dans son texte, les fourmis en train de s'activer – elles font sécher du grain –, son lointain successeur français ne se donne même pas cette peine et tient pour acquise, tout en la renforçant, l'image de la fourmi travailleuse. Cette image a pris une telle force que, dans les définitions du dictionnaire une fourmi peut désigner une personne laborieuse et une fourmilière un lieu où s'affairent un grand nombre d'humains. On a d'ailleurs attribué le succès écologique des insectes sociaux abeilles, fourmis, termites... à la division du travail et à la spécialisation des individus qu'ils mettent en place, un mode d'organisation dont Homo sapiens s'est inspiré dans bien des domaines, que ce soit l'industrie, l'informatique, la robotique ou la logistique. Pourtant, tout cela pourrait bien être bâti sur un mythe car fourmis et travail ne seraient pas si synonymes que cela, si l'on en croit plusieurs études dont la dernière en date vient de paraître dans le numéro de septembre de la revue Behavioral Ecology and Sociobiology. Biologistes à l'université d'Arizona, les auteurs de cet article sont partis du constat, posé par plusieurs travaux antérieurs, disant que, dans des fourmilières étudiées, environ la moitié des individus semblaient inactifs. Ils ont donc voulu vérifier si c'était bien le cas et tester plusieurs hypothèses pouvant expliquer cette "oisiveté" comme par exemple un besoin de repos imposé par l'horloge interne ou un excès de travail. Pour ce faire, ces chercheurs sont allés sur le terrain, près de Tucson Arizona, collecter cinq petites colonies de Temnothorax rugatulus, une fourmi nord-américaine, et les ont installées dans des nids artificiels imitant les fissures de rochers que cette espèce affectionne comme habitat. Mais au lieu d'être complètement entourés de roche, les insectes vivaient sous une plaque de verre, afin que l'on puisse les observer. Les fourmis avaient à leur disposition eau, nourriture mais aussi ces grains de sable qu'elles utilisent pour construire des murs dans leurs colonies. Comme il fallait pouvoir identifier chaque insecte pour analyser son comportement, les chercheurs ont patiemment déposé sur toutes les fourmis une combinaison de quatre points de peinture – un sur la tête, un sur le thorax et deux sur l'abdomen – quelques jours avant que ne commence l'expérience. Celle-ci a consisté à filmer les cinq colonies non pas en continu mais sur dix-huit épisodes de cinq minutes chacun, six par jour pendant trois jours eux-mêmes répartis sur une période de trois semaines. Enregistrer les images était évidemment la partie la plus aisée de l'histoire. Le casse-tête a débuté après, lorsqu'il a fallu analyser, pour chaque individu, la totalité de ces vidéos, un vrai travail... de fourmi. Les observateurs avaient pour mission de noter toutes les activités que les insectes entreprenaient, de l'aménagement du nid aux soins apportés aux œufs/larves en passant par l'approvisionnement à l'extérieur, la toilette personnelle ou celle des congénères, ou encore cette activité particulière qu'est la trophallaxie, qui consiste à régurgiter une partie de la nourriture ingérée dans ce que les entomologistes nomment le "jabot social", sorte de second estomac qui sert de garde-manger pour les fourmis trop occupées qui n'ont pas le temps d'aller se sustenter. Et bien sûr, les chercheurs enregistraient toutes les périodes d'inactivité. Sur les 225 insectes suivis, quatre grandes catégories sont apparues celle des puéricultrices 34 fourmis, celle des ouvrières travaillant hors du nid 26, celle des généralistes faisant un peu de tout 62 et enfin celle des oisives 103 ! ne faisant rien de leur temps ou presque, quelle que fût la période du jour ou de la nuit où on les observait. Pour les auteurs de cet article, force est de constater que rien, ni le besoin de se reposer ni un rythme circadien, ne semble justifier cette inactivité quasi permanente. Les fourmis qui travaillent font ce qu'elles ont à faire, quel que soit le temps que cela prendra et ne sont pas relayées par les autres pas de trois-huit chez elles. Les auteurs reconnaissent que trois semaines d'observation ne sont peut-être pas suffisantes pour identifier une fonction mystérieuse qui serait mal comprise par les entomologistes. Interrogé par le New Scientist, Tomer Czaczkes université de Ratisbonne a ainsi émis l'idée que ces fourmis puissent être une sorte d'armée de réservistes, attendant que l'on ait besoin d'elles soit pour défendre la colonie, soit pour aller faire une razzia d'esclaves dans une autre fourmilière... Daniel Charbonneau, un des deux auteurs de l'étude avec Anna Dornhaus, semble pencher pour d'autres hypothèses. Les fourmis oisives ayant moins d'interactions avec les autres, elles pourraient tout simplement ne pas être au courant que du travail les attend ou, plus subtil, faire en sorte... de l'éviter. Dans un second article paru dans le numéro d'octobre du Journal of Bioeconomics, Daniel Charbonneau et Anna Dornhaus se demandent ainsi si la paresse, ou du moins le fait qu'une fraction de la population choisisse l'inactivité, n'est pas la conséquence naturelle d'une organisation du travail complexe. L'oisiveté pourrait donc en fin de compte être une activité comme une autre... Quoi qu'il en soit, ces deux chercheurs, en démolissant le mythe de la fourmi laborieuse, soulignent que ce résultat implique que toutes les études d'entomologie s'intéressant aux tâches "actives" sont biaisées puisqu'elles oublient que près de la moitié de la population s'adonne à une spécialité importante le farniente. Pierre Barthélémy suivez-moi ici sur Twitter ou bien là sur Facebook Post-scriptum sans rapport avec le sujet ce jeudi 1er octobre à 18h30 je parlerai de science improbable au Musée des arts et métiers, à Paris. Renseignements et inscriptions ici. Pierre Barthélémy Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. La vieillesse est un cheminement naturel dans la vie. Elle entraîne différents changements physiques et psychologiques. Alors que certains la redoutent et d’autres l’apprécient à sa juste valeur, il est intéressant de se pencher sur la perception de la vieillesse dans l’ signifie réellement ce terme ? Quelles sont les conséquences de la vieillesse sur notre physique et notre moral ? Comment est-elle perçue exactement ? Les évolutions actuelles de la société n’ont-elles pas changé notre vision ? Toutes les réponses dans cet article. La vieillesse et ses conséquences Victor Hugo a dit L’un des privilèges de la vieillesse, c’est d’avoir, outre son âge, tous les âges.» Les effets de la vieillesse et le rapport avec celle-ci ne sont pas vécus de la même façon selon les personnes. Pour certains, vieillir est une fatalité puisque la vieillesse est associée à un changement physique, à la diminution progressive des fonctions cognitives et à l’apparition de la dépendance. Elle s’accompagne même parfois du sentiment de ne plus se sentir utile. Autant de conséquences qui fragilisent les personnes dans leur estime et leur dignité. Une représentation de sagesse Pour d’autres au contraire, la vieillesse représente l’expérience, la sagesse et la volonté de vouloir transmettre une histoire à travers ses joies mais aussi ses peines. Vieillir signifie alors avoir vécu, la consécration d’une vie en quelque sorte, marquée par différents événements. En Afrique par exemple, le vieillissement se pense en termes d’acquisition et de progrès, très loin de certaines images associées à la déchéance ou à la perte d’utilité sociale. Je vous laisse appréciez le texte suivant de Louis-Vincent Thomas dans Voyage au bout de la vie »Alexandra de Saivre La vieillesse en Afrique noire, par Louis-Vincent Thomas“En Afrique noire, principalement dans les zones rurales, la vieillesse n’est pas vécue comme une déchéance, le vieillissement se pense avant tout en termes d’acquisition et de progrès. Les sociétés traditionnelles, orales, ont besoin de leurs vieux, symboles de leur continuité en tant que mémoire du groupe. Aussi, la création d’hospices où l’on accumule des vieillards est encore refusée comme “malsaine” ou “scandaleuse”, et jamais le vieux n’est abandonné au dénuement et à la en ville, et sans doute aussi dans l’immigration en Europe, le vieillard perd de son utilité sociale. On l’écoute de moins en moins, on récuse sa sagesse et déjà on lui reproche d’être improductif, on lui fait comprendre qu’il est de trop”. Perception de la vieillesse comment a-t-elle évolué en France ? Il y a bien longtemps, dès les mythes gréco-romains, la vieillesse était considérée comme une malédiction, à contrario de la jeunesse, associée au bonheur suprême ». Il faut lutter contre la vieillesse tout comme on doit lutter contre la maladie »Cicéron Art romain – Buste de Cicéron 106-43 homme politique et orateur romain La représentation d’une “vieillesse-sagesse” est réapparue pourtant épisodiquement tout au long de l’Histoire, où se sont alternées les périodes dominées par les plus âgés avec celles où le pouvoir était aux mains des plus jeunes. Aujourd’hui, le contexte d’allongement de la durée de vie représente une victoire, pour laquelle se sont battues des générations et des générations. Les personnes âgées sont parfaitement intégrées dans la société et leurs besoins sont de plus en plus pris en compte, même si l’image de la vieillesse est aujourd’hui mise à mal. Les conditions de vie sont aujourd’hui plus confortables qu’auparavant pour mieux vieillir et permettent aux seniors d’élaborer des nouveaux projets de vie. Ainsi, la vision de la vieillesse que l’on se faisait auparavant n’est plus la même grâce aux loisirs, aux activités intergénérationnelles, aux voyages ou encore aux évolutions d’Internet. Et pourtant la vieillesse fait peur. Qui n’a pas peur de vieillir ? Demandez aux plus jeunes, s’ils veulent vieillir, peu vous diront oui. Elle fait peur car dans notre pays, elle n’est pas valorisée à sa juste valeur. En vieillissant, le senior est souvent vu comme un poids pour la société, un coût. Son sentiment d’utilité se réduit avec l’âge, qui lui augmente. La transmission intergénérationnelle n’est plus aussi forte qu’avant. Alors que chaque senior a eu plusieurs vies, a une richesse liée à l’expérience que personne ne peut lui enlever, on le réduit souvent à une personne en perte de vitesse, une personne amoindrie, que l’on n’écoute plus, que l’on infantilise trop souvent. Pourquoi ne nous pressons-nous pas, au contraire, pour écouter leur sagesse, leur expérience de vie avant qu’il ne soit trop tard. Lors d’un groupe de créativité réalisé avec des seniors et des aidants professionnels et familiaux, tous les seniors nous ont dit on ne veut plus nous écouter , on ne sert plus à grand-chose ». Il est indéniable qu’’ils ont plus de temps que nous, qu’ils ne sont plus productifs d’un point de vue économique … mais au contraire est-ce que comme me le disait une Tandémienne ces aînés ne nous permettent-ils pas de se poser, d’être dans l’authenticité, d’arrêter les écrans ». C’est à nous aujourd’hui de tout faire pour changer ce regard, pour le transformer et arrêter de devoir mettre le BIEN de le verbe VIEILLIR comme si VIEILLIR était négatif, dégradant …Alexandra de Saivre Fondatrice de Tous en Tandem Peut-on parler de différentes formes de vieillesse ? Si l’on en croit les dernières projections, la France devrait compter plus de deux millions de personnes dépendantes en 2040. C’est donc un fait la France vieillit. En effet, 31% de la population française aura plus de 60 ans en 2030, contre 18% en 1975. L’espérance de vie continue quant à elle d’augmenter en 2030, elle sera de 82 ans pour les hommes et de 87 ans pour les femmes. Mais l’âge de la dépendance augmente aussi estimé à 78,5 ans en 2000, il passera à 84,5 ans en 2040. Bien sûr il y a différents types de vieillesse, comme il y a différentes catégories de seniors. En effet, selon le rapport Génération Seniors de Silver Valley, on peut différencier la génération consumériste 55-65 ans, la génération de l’individu 65-75 ans et la génération du collectif 75-85 ans. Parmi cette dernière, il y a des personnes hédonistes » qui partagent les plaisirs simples et la frugalité, des personnes engagées », qui s’associent à des valeurs de solidarité et de collectivité, et des personnes repliées » quelque peu résignées. Oser parler du vieillissement comme une chance dans une société qui exalte l’efficacité est un véritable défi. Quand l’inactivité, la vieillesse sont les amis pauvres de la richesse ! …Mais est-ce que celui qui justement a plus de temps après une vie très active ne crée pas aussi de nombreuses richesses ?Les richesses humaines, la transmission de valeurs d’écoute, de résilience, d’engagement, de courage … Ces valeurs constitutives d’une société humaine et non d’une société individualiste. Je suis convaincue que ce changement de regard sur la vieillesse revalorisera nos aînés, leur permettra de ne plus se sentir à l’écart . Un des moyens l’ouverture des EHPAD, des résidences autonomies, résidences service sur l’extérieur pour ne pas rester en vase clos. Un autre la revalorisation des métiers d’encadrement des aînés. Une autre la sensibilisation des plus jeunes autour des publics fragilisés et des seniors âgés dès le plus jeune âge… ; le décloisonnement des structures, des lieux de vie … et une dernière l’importance de la transmission intergénérationnelle à mettre en du texte ci-dessus qui pose un regard croisé entre la vieillesse en Afrique et celle en Europe » m’a perturbé car il est très vrai. Mais c’est entrain de changer pour le bien-être de toute notre société, celui des aînés actuels, celui des aînés de demain. »D’ailleurs il est intéressant de se pencher sur l’évolution des termes à travers les de Saivre, Fondatrice de Tous en Tandem Vieux, troisième âge, quatrième âge, seniors, aînés… l’évolution de la terminologie Le Dictionnaire des personnes âgées, de la retraite et du vieillissement, paru en 1984, distinguait les jeunes vieux ». Entre 60 et 75 ans, biologiquement jeunes mais socialement âgés, et les vieux-vieux » plus âgés et pour qui les risques pathologiques et la probabilité de vivre seuls diffèrent de façon notable », donc physiologiquement et socialement âgés. Employé pour une personne, le terme vieux » est vite synonyme de grabataire », impotent », d’où le souhait des personnes à ne plus l’employer. Vieux » et vieillards » étant bannis du vocabulaire, on a recours à l’expression personne âgée » que le dictionnaire de 1984 définissait ainsi personne plus âgée que la moyenne des autres personnes de la population dans laquelle elle vit ». Les années 1960 ont vu apparaître l’expression troisième âge » au moment où les conditions de vie des retraités commençaient à s’améliorer. Cette image, porteuse d’une idéologie activiste, était rassurante et censée générer des comportements en conformité avec ceux des autres catégories d’âge, tels que le sport, les études, les loisirs, les voyages… Une manière, pour ceux qui y adhèrent, de se sentir bien intégrés dans la société. Le troisième âge ayant échoué à recouvrir l’ensemble de la population âgée, il a fallu par la suite inventer l’expression quatrième âge » qui désigne l’ensemble des personnes très âgées ou invalides âgées ». Aujourd’hui, ces expressions ne sont guère utilisées, peut-être parce qu’elles catégorisent et renferment plus qu’elles ne désignent. Le vieillissement d’une vie C’est le terme senior » a aujourd’hui le vent en poupe. Ce dernier a pour vocation de désigner l’ensemble des gens âgés, nouveaux consommateurs, nombreux et fortunés » Treguer, 2002. Succédant chronologiquement aux seniors, apparaît la figure de l’aîné. L’aîné se situe en référence au cadet. Bien vieillir est donc devenu un enjeu de santé publique. Il s’agit d’éviter les maladies et la perte d’autonomie, d’avoir un bon fonctionnement physique et mental, c’est-à-dire de rester cognitivement et physiquement apte, enfin de continuer à être socialement engagé, socialement actif. Finalement, il s’agit de préserver un état au cours d’un processus qu’est le vieillissement =vieillissement réussi. Pourquoi le terme bien-vieillir et mieux-vieillir est utilisé ? La notion de bien-vieillir, à l’origine d’un changement de mentalité face au vieillissement, a quant à elle connu un regain d’intérêt ces dernières années. De nombreuses études ont démontré que l’on vit plus longtemps, en meilleure santé, en étant plus actif. Bien vieillir, c’est vieillir avec une bonne santé mentale, prévenir son propre vieillissement par le biais d’activités culturelles, intellectuelles et grâce à une vie sociale épanouie. Pour bien vieillir il faut prévenir, anticiper les ruptures importantes de la vie perte d’une conjointe, séparation, éloignement physique de sa famille, départ à la retraite, chute réduisant sa mobilité, placement en maison de retraite … pour les dépasser. Il faut les accompagner au mieux pour ne pas sombrer dans une spirale négative. Vieillir n’est pas facile car il faut faire le deuil d’une vitalité perdue, mais il me semble que la seule façon de l’accepter c’est de ne pas renoncer, de garder un rôle au sein de la société, de sa » société. Ce lien social est une façon de rester utile, d’avoir un rôle pour autrui, sentiment qui fait vivre ! Le bien-vieillir c’est la capacité à vieillir en bonne santé mentale et physique mais c’est indiscutablement lié à la volonté de vieillir le mieux possible. En effet, bien que si certaines exigences pour bien vieillir soient évidemment indépendantes de notre volonté, certaines en dépendent comme l’engagement dans des activités sociales ou encore des comportements positifs pour notre santé alimentation, activité sportive… »Je conclurais en citant PCV Boiste, qui en 1800, disait une mémoire active et fidèle double la vie », j’aimerais pouvoir dire une mémoire active et fidèle au contact des Tandémiens, la triple !Alexandra de Saivre, Fondatrice de Tous en Tandem Des ateliers innovants pour dynamiser la vitalité des seniors Des offres testées et approuvées par les seniors et les professionnels Depuis plus de 3 ans, notre expérience quotidienne auprès des seniors nous montre tous les bénéfices que leur apporte la relation intergénérationnelle au cœur de nos séances culturelles les seniors retrouvent de l’énergie, reprennent confiance en eux et se sentent utiles. L’encadrement des Tandémiens et la régularité de leur présence auprès des aînés sont les deux facteurs indispensables pour que cette relation ait un impact positif sur le bien-être des seniors. Roman publié en 1865 tout d'abord en feuilleton dans Gil Blas puis en volume, la même roman retrace le parcours initiatique d'un jeune homme prêt à tout pour conquérir la capitale et réussir. Il mettra sept années à atteindre son but, accumulant les conquêtes féminines, instruments de son ascension PARTIECHAPITRE 1Le récit commence un 28 juin et ce chapitre s'étale sur une journée. Le personnage principal Georges Duroy est un ancien sous-officier récemment employé aux Chemins de fer du Nord. Il a peu d'argent et envie ceux qui peuvent profiter de la vie parisienne. Un soir, alors qu'il se promène dans les rues de Paris, il rencontre Forestier, un ancien ami, ex-camarade de régiment, qui est devenu rédacteur politique dans le journal "La vie française". Il lui donne une leçon de vie parisienne et lui demande pourquoi il n'essaierait pas le journalisme. Forestier constate que Duroy rencontre un certain succès auprès des femmes. Il l'invite à venir dîner chez lui pour lui faire rencontrer le directeur de son 2Georges Duroy se rend au dîner des Forestier. Il séduit Mme Walter, la femme du directeur du journal qui, conquise par ses souvenirs d'Afrique qu'il a racontés avec brio, lui demande de rédiger un article sur l'Algérie où il a vécu 28 mois. Il y rencontre aussi Mme Forestier, Mme de Marelle, une bourgeoise bohème et sa petite fille Laurine. Il est tout de suite intégré "Toutes les femmes avaient les yeux sur lui".CHAPITRE 3Duroy rencontre de terribles difficultés pour écrire l'article. Il en parle à son ami Forestier qui lui propose l'aide de sa femme, qui a un talent pour écrire des chroniques. Mme Forestier l'aide à écrire son premier article et le pousse à revoir Mme de Marelle. Georges ne sait comment la remercier. Le comte de Vaudrec se présente au domicile des Forestier, il serait un "ami intime". Georges se 4Lorsqu'il sort de l'appartement, il se sent triste. Puis, il se rend à la Vie Française et donne "son" article. Walter semble satisfait sans même lire l'article. Georges obtient une embauche régulière au journal. Mais il doit écrire la suite pour le lendemain, Georges est impatient de trouver son article dans le journal. Il ressent une joie immense et beaucoup de fierté. Il donne sa démission au bureau des chemins de fer. Il prend du bon temps puis se rend au journal où il sera reçu avec froideur, d'autant qu'il n'a pas apporté la suite de sa chronique. Puis, il suit Saint-Potin qui doit lui donner des conseils pour la pratique de son nouveau chez lui, il se met au travail mais sans succès. Il se présente de nouveau chez Mme Forestier pour demander de l'aide mais il est éconduit par son mari. Il produit finalement un article mais celui-ci n'est pas publié le lendemain. Il se consacre dorénavant à une autre forme de journalisme l'écriture de reportages payés à la ligne mais cela ne lui convient pas car cela rapporte peu d'argent.Le narrateur donne dans ce chapitre de nobreuses informations sur La Vie française le journal, le directeur, les journalistes, les tâches du 5Georges est frustré ils n'est pas assez riche et les portes des grands du monde lui sont fermées. Il souvient de l'invintation passée de Mme de Marelle et se rend chez elle. Il y est accueilli chaleureusement par la mère et la fille. Il est aussitôt réinvité. Mme de Marelle organise un dîner au restaurant avec le couple Forestier. Tous les quatre mangent bien et la conversation est grivoise. Mais Forestier est en retrait car il souffre de la poitrine. Au retour, alors qu'il raccompagne Mme de Marelle, Georges l'embrasse. Ils prennent rendez-vous pour le lendemain. Le surlendemain, ils sont amants. A partir de ce moment, elle lui rend visite quotidiennement dans son petit appartement. Mais un jour, elle est prise à parti par des voisins qui l'humilient publiquement. Elle ne veut plus remettre les pieds chez Georges. Elle trouve un nouveau lieu de rendez-vous un appartement qu'elle s'occupe de louer. Elle le fait découvrir à Georges qui, dans un premier temps, se demande comment il va le payer. Mais bien vite, elle le rassure elle prend tout en continuent de se voir tous les jours et Mme de Marelle aime particulièrement fréquenter les lieux populaires. Un soir, alors qu'ils se rendent aux Folies Bergères, ils tombent sur Rachel, une maîtresse occasionnelle de Georges. Celui-ci fait mine de ne pas la reconnaître. L'autre, vexée, l'apostrophe en lui rappelant leur relation. Clotilde de Marellle est choquée que Georges ait pu utiliser son argent pour fréquenter la prostituée. Elle abandonne Georges après l'avoir traité de cochon à plusieurs reprises. CHAPITRE 6Le lendemain, il se réveille sonné. Il tente de trouver du réconfort auprès de Rachel mais elle l'éconduit. Au journal, Forestier se montre désagréable et cinglant avec lui. Pour se venger, il décide de le faire cocu et se rend chez Mme Foresitier. Mais celle-ci le remet rapidement à sa place elle ne sera jamais sa maîtresse. En revanche, elle le conseille s'il veut réussir en lui recommandant de rendre visite à Mme Walter même si là non plus, il ne sera pas question de mariage. Comme il n'a pas été invité, il lui envoie un panier de poires qu'il a acheté près de chez lui et qu'il lui présente comme fraîchement arrivée de Normandie. En retour, il reçoit une samedi suivant, il se rend chez les Walter qui logent dans une belle demeure et où les conversations littéraires vont bon train. Dans un premier temps, il n'ose prendre la parole puis il finit par donner un avis original et remarqué sur les soir-là, il se réconcilie avec Rachel. Le lendemain, il est nommé chef des échos et invité à dîner chez Mme Walter. Au journal, il remplace M. Boisrenard, jugé consciencieux mais trop honnête et manquant de "maîtrise et de chic".Il s'installe à son nouveau bureau. Forestier est de plus en plus se dit qu'il doit changer de logement et se répète qu'il doit écrire à ses parents. Il se sent un autre homme et repousse les prostituées avec d'un dîner chez les Walter, il retrouve Clotilde et tous deux renouent. Il discute aussi longuement avec Norbert de Varennes au sujet de la mort. L'autre lui décrit sa vision pessimiste du lendemain, Clotilde décide de le présenter à son mari lors d'un dîner qu'elle veut organiser avec les Forestier. Charles est de plus en plus souffrant. Mme de Marelle indique à Georges que Mme Forestier va sûrement se remarier si son mari décède. Plus tard, Georges fait ses adieux au couple Forestier qui part à Nice. Il réafirme son attachement à Mme Forestier. CHAPITRE 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher". CHAPITRE 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher".Chapitre 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre PARTIEChapitre 1Il lui rend visite régulièrement et un jour, elle lui annonce la date du mariage elle veut qu'il prévienne Clotilde et rencontrer ses parents car il ne doit pas avoir honte d'eux. Elle lui fait aussi part d'épouser un homme anobli et elle lui demande s'il peut modifier son nom. Il va devenir Monsieur Georges du Roy de Cantel transformation de Canteleu, sa bourgade natale. Une fierté l'envahit. Puis il prévient Clotilde qui s'effondre. Elle le laisse en lui disant qu'il a fait "le bon choix".Georges et Madeleine s'unissent sans cérémonie religieuse et discrètement. Puis, ils quittent Paris pour la Normandie. Dans le train, ils sont d'abord mal à l'aise, la jeune femme se montre froide et calculatrice. Peu à peu, l'atmosphère se détend et ils s'étreignent rapidement. La femme reste réservée face à l'emportement de arrivent chez les parents de Georges, les mariés se sentent mieux Georges est heureux de retrouver ses racines. Cependant, Madeleine est rapidement mal à l'aise face aux manières et au mode de vie rustiques. Elle précipite leur départ. Les parents sont surpris par ce départ 2Alors que Georges rentre chez lui avec un bouquet de roses pour sa femme, il apprend que Vaudrec est invité à dîner comme tous les lundis. Désappointé, il passe finalement une bonne soirée. Le couple se met au travail après le départ du conte il s'agit d'écrire un article en rapport avec les événements au Maroc. Cet article à teneur politique et polémique lui assure la célébrité. Madeleine, de son côté, fréquente aussi les grands de ce monde qui lui rendent de nombreuses visites. Parmi eux, Laroche-Mathieu vise le porte-feuille des affaires étrangères, c'est aussi l'actionnaire principal du groupe marche sur les traces de Forestier, à tel point que ses collègues l'appellent Forestier car leurs articles se ressemblent beaucoup. Georges en nourrit une grande haine contre son ancien ami et se met à faire sans cesse allusion à lui auprès de Madeleine en employant un ton qu'un soir, il se promène avec sa femme au Bois de Boulogne, il lui demande si elle a trompé Forestier. Elle refuse de lui répondre, mais il a la conviction qu'elle l'a fait. Il décide de ne plus penser qu'à lui même et de n'être motivé que par sa seule volonté de 3Alors qu'il rentre chez lui, il tombe sur Mme Walter et Clotilde. Madeleine lui dit que les filles Walter auraient pu être un bon parti pour lui. Le soir, il repense avec nostalgie à Clotilde et décide de lui rendre visite le lendemain. A la suite de cette rencontre, ils passe chercher Mme Walter et ses filles pour aller chez Rival assister à un assaut dans la salle d'armes. Il trouve la mère séduisante. De nombreuse personnalités sont présentes. Il s'agit d'une fête de bienfaisance. Il réalise qu'il plaît à Mme Walter. Il est heureux de son succès auprès des relations se tendent entre Georges et Madeleine. Il arrête d'évoquer Charles en l'appelant ce "cocu de Forestier". Parallèlement, il s'applique à séduire Mme Walter. Dans un premier temps, elle résiste mais cela est plus formel que sincère. Après avoir refusé l'invitation dans un premier temps, elle se présente à un diner avec d'autres amis chez Georges. Il reçoit toutes les femmes qu'il a séduites mais il porte une attention particulière à Mme Walter. Il décide de la raccompagner et lui fait une grande déclaration d'amour. Il obtient d'elle un rendez-vous pour le lendemain dans l'église de la Madeleine. Il raccompagne ensuite 4Georges attend Virginie Walter dans l'église. Lorsqu'elle arrive, il lui déclare à nouveau son amour. Elle finit par avouer qu'elle l'aime aussi. Mais restée seule, elle est dévorée par le remords et demande au prêtre de la confesser de toute urgence. Puis, elle quitte l'église après avoir retrouvé Georges et demandé de ne plus la voir en tête à tête. Il se rend ensuite au journal. Walter l'appelle Bel Ami. Il règne une grande effervescence le ministère vient de tomber. Georges rédige un article à ce sujet. Il reçoit un billet anonyme qui lui donne rendez-vous le lendemain. Il comprend que son auteur est Virginie. Le lendemain, elle se donne à 5L'influence politique du journal grandit. Du Roy travaille pour servir les ambitions politiques des grands de ce s'est lassé de Mme Walter et l'a quittée. Elle était trop envahissante. Un jour, elle lui envoie un billet pour lui fixer un rendez-vous. A cette occasion, il apprend qu'elle peut lui faire gagner beaucoup d'argent s'il participe à une opération menée en secret par Walter. Il accepte. Il retrouve ensuite Clotilde et lui donne la même information pour son mari afin qu'il profite aussi de cette aubaine. Mais celle-ci découvre les cheveux d'une autre femme sur son veston ce sont ceux de Virginie qui avait pris soin de les placer sur les boutons de la veste de son ancien amant lors de leur précédent rendez-vous. Elle le griffe puis s'enfuit. Georges décide de se venger il se met à détester meurt d'une crise de 6Vaudrec a légué toute sa fortune à Madeleine. Georges en est humilié et lui demande de partager pour moitié la somme sinon il refusera qu'elle touche l'héritage. Elle accepte en se montrant peu préoccupée par l'argent. Pour leur entourage, il s'agit de dire qu'ils ont hérité ensemble. Les tensions entre eux s'apaisent et ils retrouvent une complicité en dépensant l'argent qu'ils viennent de 7La conquête du Maroc est accomplie et Walter est devenu l'un des "maîtres du monde". Il s'installe dans un nouveau domicile très luxueux et achète un des tableaux les plus prisés du moment. Il le place chez lui et organise une soirée sur invitation pour parader. Du Roy refuse dans un premier temps puis accepte. C'est une très grande réception qui réunit le tout Paris. Il y séduit Suzanne Walter et se dit qu'elle serait décidément un bon parti. Elle s'engage à le tenir informé des demandes en mariage dont elle ferait l'objet. Pendant ce temps, sa femme ne quitte pas le ministre Laroche-Mathieu avec qui elle passe la plus grande partie de la Walter se consume de jalousie et reproche sa cruauté à Georges. Il lui impose une relation amicale si elle souhaite continuer à le retour de cette soirée, Madeleine apprend à Georges que Laroche lui a fait obtenir la Légion d'honneur. Georges estime que le ministre ne fait que payer sa dette à son égard et qu'il lui doit encore beaucoup. Ils dînent ensuite chez les 8Georges fréquente la maison Walter régulièrement. La sœur de Suzanne va bientôt se marier. Il fait une déclaration d'amour à Suzanne et lui demande de refuser toute demande en mariage et de lui faire il organise une opération policière pour faire constater l'adultère de sa femme en flagrant délit. Il y parvient en la surprenant un soir avec le ministre. Il se rend ensuite à La Vie Française ou il annonce à Walter l'adultère et la chute de Laroche-Mathieu qui en découle. Walter ne peut s'empêcher d'éprouver une certaine admiration pour 9Le divorce est prononcé. Lors d'une sortie pour aller déjeuner à Saint-Germain organisée par les Walter à laquelle Georges participe, il expose son plan à Suzanne il va l'enlever et forcer ainsi ses parents à accepter le mariage. Préalablement, la jeune fille aura demandé l'autorisation de l'épouser, mais Georges sait qu'ils refuseront chacun ayant ses propres raisons.Le plan fonctionne et Mme Walter est effondrée, terrassée par la douleur. Son mari lui reproche d'ailleurs d'être victime, comme nombre de femmes, du charme de nouveau couple rentre à 10Clotilde reproche à Georges d'épouser Suzanne "Comme tu es roué et dangereux, toi!". Elle est folle de rage et pour la faire taire elle l'accuse d'avoir couché avec Suzanne, il la frappe. Il décide de ne plus revenir dans leur appartement immense mariage s'organise c'est un événement à Paris. Le succès de Georges est immense. Tout laisse supposer que sa relation avec Clotilde n'est pas terminée et qu'il va devenir député.

le train de la vie texte