decompagnie - 2 chiens max. - Les animaux de compagnie NE PEUVENT PAS être laissés seuls dans le chalet. - Les animaux de compagnie doivent être tenus en laisse à l'extérieur. - Aucun chien agressif ou aboyant n'est autorisé. - Les animaux de compagnie ne sont pas autorisés sur le lit. Amende de 100 $ pour les animaux de compagnie sur
Enleverles tas de feuilles sur le terrain. 10. Installer une lumière à détecteur de mouvement. 11. Traiter la pelouse pour se débarrasser des moufettes! 1. Des cheveux dans le trou de moufette. Si une moufette se loge dans un trou quelque part sur votre terrain, sous le cabanon par exemple, les cheveux peuvent être un bon répulsif pour
Onconnait deux emplacements pour la Cabane : - l'emplacement X, à l'intérieur du cercle de cendres ; c'est le lieu de rendez-vous de Jacob et Richard, lieu connu de Ben qui y emmènera Locke dans le 3.20 ; dans le 4.03, la Cabane n'y est plus ; mais dans le 5.16, elle y est de nouveau ;
Cétait la naissance d’une passion. Depuis, je travaille dans le milieu du chien de traîneau touristique depuis 14 ans et nous nous faisons poser plusieurs questions sur ce mode de vie passionnant qu’est le traîneau à chiens. C’est toujours étonnant pour moi de voir si peu de gens informés sur le traîneau à chien. Sans les
Lundi15 août 2022 avait lieu, comme chaque année à cette date, la Fête des lumières à Saint-Pierre-sur-Erve (Mayenne). Le concept ? La centaine d’habitants de cette commune, labellisée
Cest pourquoi les appareils orthodontiques doivent être placés, soit sur la gorge, soit sur le côté du cou. Il ne devrait pas non plus être éteint. La hauteur du doigt doit passer entre le collier et le cou de votre chien. Attachez et, quelques minutes plus tard, vérifiez que le collier est toujours au même endroit avec suffisamment de texte.
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La cabane est tombée mais le chien n`est pas mort. Le départ 7h 30 La cabane est tombée mais le chien n’est pas mort. Le départ 7h 30. Heure de rendez-vous bien matinale. On pourrait se croire un dimanche matin de la saison régulière. Mais non, rien qu’à voir ce que nous devons charger dans les soutes du bus, nous fait penser que nous n’allons pas nous déplacer en région parisienne. Dame Ghislaine, accompagnée des Dames Anne et Claire, a encore frappé fort. A voir ce qui a été préparé pour la restauration me laisse à me demander si nous n’allons pas alimenter tous les spectateurs du stade de Parthenay. Alors nous chargeons tout. Tout ? Pas sûr ... 08 h 10 Le bus démarre et nous commençons notre périple vers notre destination dominicale. Parthenay, charmante bourgade française située dans le département des deux sèvres et la région de Poitou-Charente. Lieu, désigné par la FFR, pour jouer notre 8ème de finale contre l’entente, qui fleure bon le Sud Ouest, les foies gras et les magrets, Condom-Vic Fezensac. Le voyage se fait un peu long et on commence à voir quelques agitations dans le fond du car. A 18 ans, c’est bien normal, on a besoin de se dépenser. 11 h 45. Arrêt du côté de Châtellerault pour se restaurer. Repas sans histoire sinon pour la vache du parc à jouer qui n’a pas très bien compris quand une dizaine d’escogriffes se sont mis en tête de lui faire brouter l’herbe. Repas qui a mis du baume aux cœurs des garçons qui nous gratifièrent d’un tour de chant de la variété française sans aucune fausse note et tout en douceur entre le restaurant et Parthenay. L’Avant match 14 h 00. Arrivée au stade. La mise aux vestiaires est un peu dure. Les garçons ont été enfermés pendant 4 h 30 et ont besoin de respirer. Il ne pleut pas, et il est bien tentant de rester un peu à l’air libre tout en regardant le match, Cadets, qui se joue avant notre rencontre. La rentrée dans les vestiaires se fait. Pas beaucoup de bruit. On écoute les consignes des Coachs, on va voir Jean Mi et Jérôme pour se faire strapper, on écoute capt’aine Yann, on entend quelques encouragements ça et là, on se fait des promesses, on a besoin de cela pour évacuer le stress. Avec l’autorisation des coachs, Jérôme prend la parole. Et là, quand un homme d’un certain poids et d’un poids certain » parle, les jeunes coqs écoutent. Cela les rassure. Ils sont beaux et fiers dans leurs maillots mais il n’y en a pas beaucoup qui ont déjà joué ce genre de match et leur trac est bien légitime. Mais une chose est sûre, on est tous avec eux. Le match Début de match difficile pour nos garçons. Le terrain accuse une certaine déclivité favorable, pour cette première mi-temps, aux gersois qui nous privent de ballons grâce à une bonne agressivité et une très bonne organisation dans le petit périmètre où nous sommes, il faut bien le reconnaître, quelque peu défaillant ce jour. Les attaques incessantes viennent buter sur une défense intraitable de nos verts. Mais cette défense acharnée provoque inévitablement des fautes et, après deux tentatives infructueuses, le 10 adverse transforme une pénalité à laquelle Ben répond par une pénalité de 40 M. 3 à 3 à la 15ème, c’est pas mal, 6 à 3 à la trentième minute. Il reste cinq minutes, si nous tournons aux oranges avec ce petit déficit, tous les espoirs sont permis. A nous le terrain dans le bon sens, à nous les départs de 8 de Pascal, et des troisième lignes en soutien, à nous les chevauchées de toute la ligne d’arrières. Hélas, les cinq dernières minutes de ce premier acte vont, sans le savoir, nous être fatales. Suite à des fautes répétées, de l’ensemble de l’équipe, Pascal écope d’un carton blanc et deux minutes plus tard sur une relance dans notre camp, le ballon tombe et est prestement récupéré par un gersois qui va planter la seule banderille du match entre les pagelles. Essai transformé, 13 à 3 aux oranges. Rien n’est perdu mais cela sera sans doute un peu plus difficile. Le deuxième acte est plus équilibré. Les avants verts sont plus présents dans le combat mais sans cette cohésion qui existe chez nos adversaires. Néanmoins, nous avons quand même un peu plus de munition que les arrières exploitent du mieux qu’ils peuvent face à une défense agressive qui ne laisse pas beaucoup d’espace. Les équipes se rendent coup pour coup. De part et d’autre, des mouvements sont initiés mais ne vont pas au bout, soit à cause d’une faute de main, soit par le fait d’une défense omniprésente. En fin de compte, rien ne sera marqué lors de cette deuxième mi-temps et le score inscrit au planchot à la mi-temps n’évoluera pas. Dans un match disputé dans un très bon esprit et conduit de main de maitre par le Referre landais de la côte d’argent, l’entente Condom-Vic Fezensac se qualifie pour les quarts de finale. Nous pouvons nourrir quelques regrets car avec un peu plus de cohésion devant et quelques ballons mieux négociés, il y avait la place de passer un tour supplémentaire. Le canard n’était pas gras mais il était trop gros pour nous et en ce dimanche, le bonheur n’était pas sur le pré. L’après match Ce qui ce passe dans le bus, reste dans le bus. Mais sachez que j’ai passé un des plus grands retours de match de ma vie de rugbyman et de dirigeant. Merci pour cela. En revanche, quelques faits marquants lors de la dernière halte où tous les garçons ont fait un Tchou Tchou d’anthologie dans le magasin de la station service et quelques Paquito au passage des voitures. Une grosse et franche rigolade prouvant que la déception de la défaite était passée et que la suite n’était que du bonheur. L’action de la journée Nous avions tout chargé au départ. Tout ? Nooooooooon. Nous avons oublié l’élément indispensable pour jouer au rugby. L’acteur sans qui rien n’est possible. L’arbitre ? Nooooooooooooon. Nous avons tout simplement oublié les ballons. Quand je dis nous, c’est parce que le rugby est un sport collectif et que, lorsqu’un acteur fait une boulette, tout le monde l’assume. Mais il ne faut pas exagérer quand même et il ne faudra pas que l’affaire se reproduise. Je ne ferai pas de délation, mais il est petit, brun avec des cheveux courts, il râle tout le temps et les joueurs l’ont affectueusement affublé du doux nom de Chapka. Vous voyez de qui je veux parler ? Non, eh bien tant pis mais je ne donnerai pas de nom. Les remerciements Merci à toutes les personnes qui se sont chargées de l’intendance. Nous n’avons jamais manqué de rien aussi bien en solide qu’en liquide. Il est des réputations qu’il va être difficile de surpasser. Merci au photographe non officiel du groupe qui pratique sans carte de presse. Tout au long de l’année, il a suivi les matchs par l’objectif de son appareil pour notre plus grand bonheur. Malgré que ce soit lui qui ait fixé toutes les images sur la pellicule’’, je suis persuadé que c’est lui qui en a le moins vu. Nous avons perdu la partie sur le pré, mais nous avons gagné la partie dans les tribunes. Ce n’est, certes, pas le principal, mais il est réconfortant de voir autant de monde capable de suivre des jeunes dans leur aventure. Merci donc à tous ces supporters qui sont venus, soit occasionnellement, soit sur l’ensemble des trois tours. Je pense que les garçons ne l’oublieront pas. La cabane, beaucoup moins solide que la semaine dernière, est tombée sur le chien, mais le chien est toujours vivant et reviendra la saison prochaine. Ce qui ne tue pas rend plus fort encore. Et pour finir La chose la plus importante je tiens à féliciter les joueurs et les coachs pour leur belle saison. Cela n’a pas été tous les jours facile. Ils s’étaient fixés un objectif se qualifier pour le Championnat de France. Ils l’ont fait et en prime ils se sont offerts trois tours. Messieurs, la qualité est là. Maintenant, Il faut continuer à travailler pour progresser et être encore plus forts dans le futur pour réussir un jour ce qui, ne nous le cachons pas, nous fait tous B…. pour rester viril mais correct. C'est aussi un apprentissage, un groupe ne se construit pas en une saison mais en deux, trois, quatre saisons, en y apportant chaque année des éléments nouveaux. La progression de l’entente passe par la stabilité et l'ambition. Bon Vent à Tous Le rugby, c'est l'histoire d'un ballon avec des hommes autour. Et quand il n'y a plus le ballon, il reste l'essentiel les hommes. Jean Pierre Rives Petite dédicace pour …… Sur l’air des Tuyaux ou des Pompiers Les ballons En ce dimanche pour les 8ème Tout le monde est là au pied du bus On charge le coffre et les joueurs Sans rien oublier sur le trottoir. La la la la la la la la Quand tout à coup après le départ Monsieur mail se lève d’un bond Va voir Seb dans le fond du bus Et lui demande As-tu pensé aux ballons ? ohe ohe ohe !!! Où sont passés les ballons les ballons les ballons Mais où est passé le sac de Seb Où sont passés les ballons les ballons les ballons Pas de panique, allons voir Seb.
La frustration sublime … En pays d'Ovalie, on se plaît à manier la langue et les paradoxes, les coups de gueule et les coups de cœur, les comportements absurdes et les envolées lyriques. Rien n'échappe au verbe ovale et tout se prête à ses débordements généreux ou affligeants selon que l'on goûte ou non l'étrange confrérie de Rugby. Des expressions furent ainsi mises en avant par ces gens à l'accent chantonnant et à la langue métaphorique. Parmi celles-ci, comment ne pas évoquer la merveilleuse formule La cabane est tombée sur le chien, … et le chien est mort ! ». Elle relève du folklore d'un sport qui risque fort, en ce dimanche d'octobre de s'appliquer à lui-même cette belle devise. D'autant plus que, comme vous devez aisément l'imaginer, un coq qui se prend parfois pour un dindon a eu l'idée saugrenue de monter sur la sus-dite niche à chien pour chanter à la face du monde sa prétention extrême. Le dindon de la farce, parlons-en par la même occasion. Il est bon de tout mêler et il me semble de la première importance de vous toucher deux mots du drame qui sourd en mon petit club amateur. Je sais emprunter des chemins obscurs pour développer une pensée bien noire, c'est que la couleur est de circonstance et que la cabane, à défaut du ciel, nous tombe sur la tête bien avant que pareille mésaventure ne survienne au quinze de France ! Le canidé qui se prend pour un volatile si peu ailé, c'est le rugby amateur, dans le seul comité territorial de la région Centre. Des gens, d'une rare sagacité ou d'un profond mépris ont décrété que le jour de la Finale, les sportifs sous leur autorité indéboulonnable, allaient préférer le pré au canapé. Nous leur sommes reconnaissants de penser ainsi à nos santés souvent en danger dès qu'il est question de sport à la télévision ; l'abus de bières et de pizzas étant pour le moins détestable. Ainsi, à l'heure où la France entière profitera du triste spectacle de la probable déculottée magistrale, de notre équipe nationale, nous resterons à l'écart de chagrins éternels pour monter sereins et préservés dans un car. Nous échapperons au spectacle de la honte probable à moins que nous soyons privés, tous les espoirs sont permis, au renouveau soudain et magnifique d'une équipe capable du pire et en de rares occasions du sublime. Le pire, il nous est réservé. Punis de jouer au Rugby dans un comité qui navigue à vue sans regarder le calendrier international, nous allons nous nicher, dès dix heures, dans la cabine d'un car en nous déclarant à nous même La cabine est tombée sur les chiens galeux du sport amateur ! ». Rassurez-vous, nous garderons éternellement un chien de notre chienne à ces maudits décideurs régionaux qui nous ont privés de ce moment de communion nationale. Nulle récrimination ne parvient à leur porte, nul arrangement n'est possible. Gouverner c'est prévoir, ils comprendront bien vite qu'ils n'avaient pas prévu le pire ! Je vais hurler à la mort, vieux chien enchaîné dans sa niche miteuse. Je veux gueuler ma colère et mordre ces affreux bonshommes qui nous excluent de la célébration télévisuelle. Ils vont voir tomber sur leurs têtes toutes les plaintes de ce petit peuple en short sans lequel ils ne seraient rien. Ils vont recevoir le coup de pied de l'âne. Les mouches vont bourdonner à leurs oreilles et nous allons allumer le contre-feu de la révolte. Puisque nous n'avons pas les moyens de nous faire entendre, nous allons faire grand vacarme pour affirmer notre désappointement et mettre un poing » final et général sur cette affaire, comme parfois on sait le faire au Rugby. Dimanche, si rien n'est décidé d'ici-là, nous serons privés de l'évènement le plus important de notre sport qui n'a lieu que tous les quatre ans. Les responsables de ce crime de lèse-amateur seront châtiés, foi de combattant valeureux. Le chien n'est pas mort, il se relèvera enragé ! Aboiement leur. Vidéo Tex Avery - Droopy - Senor Droopy par thenelaware
Ah le maudit samedi, enterrement du quinze de FranceAstérix était vêtu de noir catapultant les centurions gauloisSacrée gueule de bois pour nous ce Dimanche,Cardiff rime avec Waterloo , nos joueurs aux laissez moi sortir du livre de mes souvenirsLes fantômes d'autrefois qui nous faisaient sourire ,Reviennent sur le gazon tous ces forts garçonsQui chantaient l'Ovalie, guerriers et frères Spanghero ouvrent le défiléArrivent derriere eux les piliers de Béziers,Aguirre et Blanco arrières lumineuxSuivent les costauds tous grand Joinel accompagne Rodriguez,La montagne Benazzi chante la Marseillaise ,Dintrans sonne la charge des avants,Paparemborde est toujours et Berbizier dirigent la manoeuvre ,Cordorniou petit génie sème sa folie,Lagisquet , N'tamak, Esteve filent vers la ligne,L'essai pour tous est dans leurs retrouve ton génie,Laissez ceux qui parlent de combat,D'être méchants, de faire mal,Retrouvez du Rugby le génie ,Le plaisir du jeu la joie des enfants.
Salut jeune Kopkid, comme le dit Charles Aznavour dans sa chanson, nous allons commencer à te parler d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaîtreeueueu » avec le duo de commentateurs Roger Couderc/Pierre Albaladéjo qui a beaucoup aidé à rendre populaire le rugby au début des années 60. Le premier Roger connaitra d’abord la popularité pour ses commentaires enflammés lors des nombreux combats de catch diffusés le vendredi soir. Cette faconde = facilité à parler l’amena petit à petit à commenter le rugby où son accent du sud-ouest fit merveille. Il n’avait pas son pareil pour transformer une charge des avants de Béziers en épopée hollywoodienne Hollywood lieu mythique où on fabrique les grands films américains, pour pousser en mêlée avec les gros » ou relancer de son en-but avec les gazelles » ! Ses hurlements allez les petits! » pour encourager l’Equipe de France le rendit célèbre et le fit surnommer le seizième homme »! Roger Couderc et Pierre Albaladejo…le sourire du rugby ! Pierre Albaladejo, ancien grand joueur de Dax et de l’équipe de France au poste de demi d’ouverture numéro 10, rejoint ensuite Roger Couderc pour commenter les matchs à la radio, formant ainsi un duo qui existe toujours aujourd’hui en télévision un commentateur, un consultant. Ce fut une révolution » à l’époque, beaucoup de Français coupant même le son de la télévision pour écouter les commentaires du duo. Roger Couderc s’en amusait l’équipe de France joue en bleu côté gauche de votre transistor =poste de radio et les Anglais à droite »…! Mais revenons à Pierre Albaladejo avec son accent et son vocabulaire de Landais, il rendait perplexe tout habitant du nord de la Garonne en déclarant par exemple la béchigue est passée entre les pagelles ! » traduction » la balle est passée entre les poteaux », ou bien la cabane est tombée sur le chien » ou encore il lui a mis un de ces ramponneaux! ». Chabal, grand spécialiste des ramponneaux » en action sur un néo-zélandais! Allez les kids, on ne pouvait pas résister à l’envie de vous faire partager quelques expressions cultes du Rugby… avec leur traduction » ! Un ramponneau est un plaquage très dur et une biscouette est une belle feinte! La cabane est tombée sur le chien ça y est le résultat du match est acquis Les mouches ont changé d’ânes l’équipe qui menait vient de se faire dépasser Le cochon est dans le maïs aïe aïe aïe, ça sent le roussi ! Le chat est maigre le score est petit ! La jument n’a pas encore tourné le dos au foin rien n’est encore acquis ! C’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses le score n’est certain qu’après le coup de sifflet final ! Et maintenant quelques grandes phrases rugbystiques vraiment prononcées par des joueurs! Les avants ont généralement leur QI Quotient Intellectuel inscrit dans le dos Un vrai coup de godasse sur un type à terre, c’est encore plus dur à donner qu’à recevoir ! Le rugby, c’est comme la dinde sans marrons, c’est vulgaire! Heureusement qu’il y avait mon nez, sinon je l’aurais pris dans le visage ! Le ballon de rugby, c’est un œuf de pack ! le pack est l’ensemble des avants Au rugby, un caramel, ce n’est pas une friandise ! Ce qu’on appelle un bobo chez nous, c’est une blessure dans les autres sports ! Il en existe beaucoup d’autres mais, désolé les Kids,… la cabane est tombée sur le chien !
la cabane est tombée sur le chien