2Le locus classicus Ă©tant bien sĂ»r la formule 600 des Textes des Pyramides, dont les plus anciennes ; 2 Les mythes centraux de l’Égypte ancienne ont pour cadre HĂ©liopolis : ce sont la cosmogonie d’une part, le conseil des dieux durant le conflit d’Horus et Seth d’autre part. Le premier mythe explique, vers 2350 av. J.C., l’origine du monde ; du second dĂ©rive la rĂšgle de la Unemomie vieille de 3.200 ans . Des Ă©tudes de datation ont par ailleurs permis de dater l’ñge du tombeau et de la momie. Selon les rĂ©sultats, le lieu de sĂ©pulture remonterait Ă  la Documentation[ voir] [ modifier] [ historique] [ purger] Ce modĂšle Ă  pour but d'afficher la sĂ©pulture d'une personnalitĂ© de l' Égypte antique (pharaon ou pharaonne, Divine adoratrice d'Amon, Grand prĂȘtre, Vizir, etc.) sur toute la largeur de la page. Denouveaux trĂ©sors archĂ©ologiques, dont un temple funĂ©raire datant de plus de 2.500 ans, ont Ă©tĂ© dĂ©couverts dans la nĂ©cropole de Saqqara (Égypte), ont annoncĂ© samedi les Cetteembarcation, enterrĂ©e sur un lit de pierres Ă  proximitĂ© d'un mastaba -sĂ©pulture abritant traditionnellement des notables importants dans l'Egypte antique-, devait "appartenir au propriĂ©taire de la tombe, une personnalitĂ© au rang extraordinairement Ă©levĂ©", a commentĂ© dans un communiquĂ© du ministĂšre Ă©gyptien des AntiquitĂ©s le TchĂšque Miroslav Barta, qui dirige la PropertyValue; dbpedia-owl:wikiPageID 1069347 (xsd:integer); dbpedia-owl:wikiPageRevisionID 98934105 (xsd:integer); prop-fr:templateUsesParameter dĂ©couverte fQVtd2. Les 13 et 14 juin 2022, le dĂ©partement d’études historiques de l’universitĂ© de Turin organisait un colloque au terme d’un programme biennal, labellisĂ© et soutenu par l’universitĂ© sur La forza delle acque, dĂ©diĂ© aux rapports hommes/eau/environnement. Celui-ci comprenait trois axes l’eau comme ressource, l’eau comme danger, l’utilisation et la valeur symbolique de l’eau qui ont servi de fil rouge au colloque, intitulĂ© La forza delle acque. Indagini su regimentazione, raccolta, distribuzione, utilizzo e significato nel mondo antico. L’objectif Ă©tait d’instaurer un dialogue croisĂ© entre historiens et archĂ©ologues autour d’une mĂȘme thĂ©matique pour confronter les approches et les mĂ©thodes des uns et des autres et en dĂ©gager des points d’accroche communs, comme on le fait aujourd’hui couramment sur d’autres sujets. Trois sessions de bilans et d’études de cas nous ont Ă©tĂ© proposĂ©s. La premiĂšre, intitulĂ©e La gestion des eaux dans le monde grec entre ressource et pĂ©ril, Ă©tait centrĂ©e sur les sociĂ©tĂ©s grecques et la maniĂšre dont elles avaient perçu et exploitĂ© leurs eaux. Assimilant le statut de l’eau Ă  celui de la terre, Gianluca Cuniberti a dessinĂ© une histoire du droit et des droits hydrauliques en partant des textes homĂ©riques et hĂ©siodiques, puis des philosophes et en soulignant le fait que les inscriptions juridiques sur cet Ă©lĂ©ment Ă©taient rares, ce qu’a confirmĂ© l’étude de Marcello Valente consacrĂ©e Ă  quelques exemples de gestion des eaux publiques en Attique, pourtant la mieux documentĂ©e, et en BĂ©otie. Daniela Marchiandi a repris le cas bien connu de l’épidĂ©mie d’AthĂšnes au dĂ©but de la Guerre du PĂ©loponnĂšse, en cherchant Ă  Ă©valuer le rĂŽle de l’eau dans sa propagation et en s’interrogeant sur la fiabilitĂ© des textes bien connus de Thucydide, Diodore de Sicile et de Plutarque. On rappellera Ă  ce sujet l’article de Reine-Marie BĂ©rard qui vient de sortir Nous sommes en guerre » ? », Histoire, mĂ©decine et santĂ© [En ligne], 19 Ă©tĂ© 2021, mis en ligne le 12 janvier 2022, consultĂ© le 19 aoĂ»t 2022. URL ; DOI La peste d’AthĂšnes fait toujours couler beaucoup d’encre ! De l’eau qui tue Ă  l’eau qui dĂ©lasse en visioconfĂ©rence depuis AthĂšnes, Carmelo di Nicuolo a dressĂ© un panorama inĂ©dit des Ă©difices balnĂ©aires grecs, en s’appuyant sur la synthĂšse Ă  la fois dĂ©passĂ©e et irremplaçable de RenĂ© GinouvĂšs BalaneutikĂš. Recherches sur le bain dans l’AntiquitĂ© grecque, BEFAR n° 200, Paris, 1962, et les travaux de Monika TrĂŒmper. Du monde Ă©gĂ©en on est passĂ©s au monde grec d’Occident. J’ai prĂ©sentĂ© les derniĂšres dĂ©couvertes sur l’aqueduc du Galermi Ă  Syracuse un billet lui sera consacrĂ© ultĂ©rieurement. Diego Elia a illustrĂ© par plusieurs exemples de Grande GrĂšce MĂ©taponte, Cumes, Locres EpizĂ©phyrii, Poseidonia ou ElĂ©e et de Sicile Agrigente en particulier son fil directeur la forme de la citĂ© grecque d’Occident a Ă©tĂ© conditionnĂ©e et modelĂ©e par la nĂ©cessitĂ© de gĂ©rer de l’eau. IdĂ©e dĂ©jĂ  proposĂ©e par d’autres, mais Diego Elia l’approfondit et la documente de maniĂšre mĂ©thodique et magistrale. La deuxiĂšme session Ă©tait consacrĂ©e au monde romain La gestion des eaux dans le monde romain entre ressource et pĂ©ril. Un peu plus Ă©clectique, elle a abordĂ© plusieurs exemples sans dresser de synthĂšse ou de panorama gĂ©nĂ©ral. Dans un contexte historiographique surchargĂ©, il est difficile de proposer du neuf sur l’hydraulique romaine ! Silvia Giorcelli a ouvert l’aprĂšs-midi sur une communication Ă  la thĂ©matique hydraulique Ă©largie les voies d’eau comme vecteur du commerce romain dans le nord de l’Italie. Giordana Amabili, Alessandra Armirotti et Maria Clara Conti ont prĂ©sentĂ© une Ă©tude de cas les derniĂšres dĂ©couvertes hydrauliques de la colonie romaine d’Augusta Praetoria Aoste. Une communication Ă  deux voix a traitĂ© l’exemple incontournable de l’archĂ©ologie romaine PompĂ©i. Federico Giletti nous a offert un point de vue original en centrant son approche sur la ville prĂ©romaine celle-ci exploitait la nappe phrĂ©atique et distinguait alimentation publique et privĂ©e en privilĂ©giant une exploitation collective de la ressource par le biais de puits publics. AprĂšs d’autres chercheurs citĂ©s lors de sa communication K. Duncan Jones, Somma-Vesuvian Ground Movements and the Water Supply of Pompeii and the Bay of Naples, AJA, 2015. 191–215 ; ou C. Monteleone, M. Crapper, and D. Motta, The Discharge of Pompeii public lacus Fountains Water History, 2021, Marco Serino a prĂ©sentĂ© les systĂšmes de recueillement et de distribution des eaux et leur Ă©volution au cours de l’histoire de la ville. Nicolo Masturzo a passĂ© en revue les installations de la colonie augustĂ©enne de Leptis Magna par typologie aqueduc, citernes, fontaines en insistant sur le rĂŽle que certaines d’entre elles, comme l’aqueduc de 24km de longueur, avaient jouĂ© dans la propagande des notables romains en Libye. La troisiĂšme session, consacrĂ©e Ă  L’eau et le sacrĂ©, a offert quelques Ă©tudes de cas de la Protohistoire italienne Ă  l’AntiquitĂ© classique. Cristiano Iaia a Ă©voquĂ© un phĂ©nomĂšne plus que millĂ©naire, rĂ©pandu en Europe protohistorique, que ce soit en Angleterre, Irlande, France ou Europe centrale le dĂ©pĂŽt votif de bronzes dans des eaux courantes ou dormantes. TrĂšs diffusĂ©e en Italie, en particulier en Italie du nord, dans le Trentin ou dans les Alpes, cette pratique peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e de plusieurs maniĂšres selon que l’eau du cours d’eau, de la source ou du lac, est considĂ©rĂ©e comme une force surnaturelle, comme un point de passage vers un autre monde, un lieu de mĂ©moire, ou comme un lieu de sĂ©pulture symbolique qui atteste le statut social du dĂ©funt. C’est ainsi que des sites comme Pila del BrancĂČn VĂ©rone ou le lac de Viverone prĂšs de Biella ont rĂ©vĂ©lĂ© des ensembles exceptionnels. Il faudrait aussi s’interroger sur les fonctions thĂ©rapeutiques de ces corps d’eau, comme on a pu le proposer ailleurs et pour d’autres Ă©poques, en particulier aux sources de la Seine, exemple emblĂ©matique de la permanence de telles pratiques Ă  l’époque romaine S. Deyts, Les bois sculptĂ©s des sources de la Seine, XLII supplĂ©ment Ă  Gallia », Éditions du CNRS, 1988. Betsey Ann Robinson a exposĂ© le projet de l’American School of Classical Studies at Athens sur la vallĂ©e de PeirĂ©nĂš en en dressant le bilan historiographique fouillĂ© dĂšs 1896, le quadrilatĂšre autour de la fontaine PeirĂ©nĂš a rĂ©vĂ©lĂ© de nombreux vestiges sur lesquels le nouveau programme se greffe. C’est en rĂ©alitĂ© un quartier disparate, fait de structures sacrĂ©es successives pĂ©ribole romain d’Apollon avec dĂ©pĂŽts votifs antĂ©rieurs, temple A et naĂŻskos, artisanales avec le trĂšs intĂ©ressant atelier de travail du murex et la teinturerie ; quartier qui s’est dĂ©veloppĂ© autour d’une fontaine combinant toutes ces fonctions Ă  la fois religieuses et laĂŻques Robinson, Histories of Peirene A Corinthian Fountain in Three Millennia, Princeton, 2011. Valeria Meirano a dressĂ© une synthĂšse des sanctuaires de Grande GrĂšce en relation avec l’eau. Le sujet avait Ă©tĂ© dĂ©frichĂ© dans certaines rĂ©gions, comme la Basilicate dans les annĂ©es 1960/1970 par Dinu Adamesteanu et ses collaborateurs voir par ex. H. Dilthey, Sorgenti, acque, luoghi sacri in Basilicata, in E. Lattanzi dir., AttivitĂ  archeologica in Basilicata, 1964-1967. Scritti in onore di D. Adamesteanu. Matera, 1980 539-557 ou esquissĂ© pour Poseidonia G. Tocco Sciarelli, I culti. In A. Stazio, S. Ceccoli a cura di, Poseidonia – Paestum. Atti del ventisettesimo Convegno di studi sulla Magna Grecia, Taranto-Paestum, 9-15 ottobre 1987, Tarente, 1988 361-374. V. Meirano s’est s’appuyĂ©e notamment sur les exemples rĂ©cemment Ă©tudiĂ©s de Poseidonia, lue comme une vĂ©ritable citĂ© des eaux G. Zuchtriegel, P. Carter, M. E. Oddo a cura di, Poseidonia cittĂ  d’acqua. Archeologia e cambiamenti climatici, Paestum, 2019, CyrĂšne Lorenzo Cariddi, Cirene e l’acqua, Rome, 2020, ou Tarente avec le sanctuaire de la source de Saturo et la nymphe Satyria. Puis elle a dĂ©veloppĂ© les dĂ©couvertes effectuĂ©es par l’universitĂ© de Turin au centre de l’espace urbain de Locres EpizĂ©phyrii. Locres est elle aussi une citĂ© des eaux, comme le soulignent les nombreux lieux de culte Grotta Caruso, Grotta Imperatore, Vallone Milligri, ainsi que des personnages Ă  la fois mythiques et historiques comme le lutteur Euthymos ou les nymphes omniprĂ©sentes dans la citĂ©, et bien sĂ»r cette remarquable aire urbaine dont on attend la publication dĂ©taillĂ©e. Marina Albertocchi, qui vient juste de publier une Ă©clairante monographie sur le sujet Il Thesmophorion di Bitalemi. La fase arcaica, Rome, 2022, nous a proposĂ© une autre vision du cĂ©lĂšbre Thesmophorion de Bitalemi. Le sanctuaire, installĂ© Ă  l’embouchure du fleuve GĂ©las nourricier de la citĂ© et de son territoire, devrait donc reflĂ©ter l’importance de cet emblĂšme de GĂ©la toutefois, s’il a livrĂ© de trĂšs nombreux vases, en particulier des hydries miniaturisĂ©es, on a mis au jour peu de tĂ©moignages du rĂŽle purificateur et rĂ©gĂ©nĂ©rant de l’eau, comme les louteria et les bassins. Il faut peut-ĂȘtre alors envisager que les rites de purification aient eu lieu directement dans le fleuve ou Ă  ses abords, comme on le voit dans la littĂ©rature antique. Enfin, Elisa Ercolin nous a proposĂ© une rĂ©flexion sur les reprĂ©sentations de l’hydrie dans la cĂ©ramique lucanienne et apulienne et le rĂŽle que ce vase spĂ©cifique de l’activitĂ© fĂ©minine joue dans la construction de l’espace fĂ©minin domestique. Ces journĂ©es ont donc constituĂ© une pause rĂ©gĂ©nĂ©ratrice aprĂšs deux annĂ©es de pandĂ©mie qui nous ont coupĂ©s les uns des autres, et le plaisir de se retrouver a donnĂ© lieu Ă  de fructueux Ă©changes. Les communications et riches dĂ©bats qui les ont accompagnĂ©s doivent ĂȘtre publiĂ©s par Diego Elia et ses collĂšgues de l’universitĂ© de Turin. L’ouvrage permettra de faire un bilan trĂšs utile des recherches menĂ©es sur certains sujets. Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisLe Nouvel Empire ThĂšbes et MemphisThĂšbes, en Haute Égypte, fut Ă  son Ă©poque la plus glorieuse, celle du Nouvel Empire vers 1550-1070 av. l'un des lieux majeurs de l'histoire Ă©gyptienne. À Karnak, le grand temple dynastique, avec ses annexes, mĂ©riterait Ă  lui seul une longue Ă©tude, tant sa prospection a Ă©tĂ© l'objet de travaux – et pourtant une partie considĂ©rable des ruines demande encore Ă  ĂȘtre fouillĂ©e et beaucoup des vestiges dĂ©gagĂ©s ne sont pas Ă  proprement parler publiĂ©s. De nombreux archĂ©ologues, tels G. Legrain, M. Pillet, H. Chevrier, C. Robichon, Labib Habachi y ont, pendant des dĂ©cennies, dĂ©veloppĂ© une activitĂ© inlassable ; les secteurs de recherches sont multiples depuis Karnak-Nord, oĂč la mission de l'Institut français d'archĂ©ologie orientale a repris en 1968 les fouilles interrompues depuis 1951, jusqu'au temple de Mout, qu'explore une mission amĂ©ricaine. Le Centre franco-Ă©gyptien, fondĂ© en 1967, a entrepris des travaux d'importance relevĂ© du dĂ©cor et des inscriptions des monuments, fouilles, travaux de restauration et d'anastylose. Dans l'enceinte du temple d'Amon, qui est sans doute le site le plus Ă©tudiĂ© de toute l'Égypte pharaonique, on continue Ă  faire des dĂ©couvertes importantes. Ainsi, le mĂŽle ouest du neuviĂšme pylĂŽne du temple, construction massive qui menaçait de s'effondrer, a Ă©tĂ© dĂ©montĂ© pierre par pierre depuis 1968 ; dans le remplissage ont Ă©tĂ© recueillis plus de 13 000 blocs les talatates » dĂ©corĂ©s de reliefs, qui provenaient d'un temple disparu, Ă©difiĂ© Ă  l'est de la grande enceinte de Karnak par le pharaon hĂ©rĂ©tique AmĂ©nophis IV vers 1360 av. et consacrĂ© par lui Ă  Aton, le disque solaire. AprĂšs l'Ă©chec de la rĂ©volution religieuse amarnienne, on tenta d'en faire disparaĂźtre jusqu'au souvenir ; les pierres du temple furent dĂ©montĂ©es et rĂ©utilisĂ©es par le pharaon Horemheb vers 1330-1300 av. pour le remplissage du neuviĂšme pylĂŽne. Les talatates sont enregistrĂ©es et Ă©tudiĂ©es par les archĂ©ologues de Karnak ; leur assemblage permet peu Ă  peu de reconstituer les parois dĂ©corĂ©es de ce temple inconnu ; des informations prĂ©cieuses sont obtenues sur l'architecture, l'urbanisme et la vie dans la capitale thĂ©baine sous la XVIIIe dynastie, et plus prĂ©cisĂ©ment durant la pĂ©riode face de Karnak, sur la rive ouest du Nil, de nombreuses missions archĂ©ologiques poursuivent des fouilles, des travaux de relevĂ©s, de nettoyage et de restauration dans les tombes ou les temples funĂ©raires de la nĂ©cropole thĂ©baine. Une mission de l'universitĂ© de Berkeley Californie, dirigĂ©e par K. R. Weeks, a travaillĂ© Ă  l'Ă©laboration d'une nouvelle carte de l'ensemble de la nĂ©cropole en rĂ©alisant pour ce faire une prospection topographique et archĂ©ologique gĂ©nĂ©rale du secteur, avec des plans, des coupes et des relevĂ©s de tombes. Dans la VallĂ©e des Rois, une mission amĂ©ricaine est en train de poursuivre le dĂ©blaiement de ce qui pourrait ĂȘtre une tombe collective des enfants de RamsĂšs II. À Deir el-Bahari, la mission polonaise reconstruit le cĂ©lĂšbre temple funĂ©raire de la reine Hatshepsout et celui de son implacable rival Thoutmosis III. Dans la vallĂ©e des Reines, plusieurs tombes posent de graves problĂšmes de conservation. C'est le cas en particulier de la sĂ©pulture si dĂ©licatement peinte de la cĂ©lĂšbre reine NĂ©fertari, Ă©pouse de RamsĂšs II, qui a Ă©tĂ© l'objet d'une magnifique restauration sous l'Ă©gide de la fondation la nĂ©cropole thĂ©baine ne saurait se prĂ©valoir du monopole des tombes du Nouvel Empire. Dans l'autre capitale, Memphis, il faut mentionner la dĂ©couverte importante, Ă  Saqqara, de la tombe prĂ©parĂ©e pour Horemheb, Ă  la fin de la XVIIIe dynastie. On ne connaissait de cette sĂ©pulture que de magnifiques fragments de reliefs dĂ©robĂ©s au xixe siĂšcle et conservĂ©s dans les grands musĂ©es ; son emplacement exact a Ă©tĂ© mis en Ă©vidence par la mission conjointe de l'Egypt Exploration Society de Londres et du musĂ©e de Leyde ; construite par Horemheb lorsqu'il n'Ă©tait pas encore souverain, cette sĂ©pulture est devenue celle de son Ă©pouse, la reine Moutnedjemet. Le matĂ©riel recueilli a fourni de prĂ©cieuses indications sur la fin de la XVIIIe dynastie, pour laquelle nos connaissances demeurent assez contradictoires. À proximitĂ© immĂ©diate, les dĂ©blaiements ont fait connaĂźtre les tombes aux beaux reliefs de Tya et de Maya. C'est Ă  Saqqara encore, dans la [...]1 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 15 pagesAfficher les 9 mĂ©dias de l'articleÉcrit par secrĂ©taire perpĂ©tuel de l'AcadĂ©mie des inscriptions et belles-lettresClassificationHistoireArchĂ©ologieArchĂ©ologie aires gĂ©ographiquesAfrique, archĂ©ologieÉgypte, archĂ©ologieHistoireArchĂ©ologieArchĂ©ologie aires gĂ©ographiquesAfrique, archĂ©ologieSoudan, archĂ©ologieHistoireHistoire chronologiePrĂ©histoireHistoireHistoire chronologieAntiquitéÉgypte antique, histoireAutres rĂ©fĂ©rences ÉGYPTE ANTIQUE » est Ă©galement traitĂ© dans ÉGYPTE ANTIQUE - Vue d'ensembleÉcrit par François DAUMAS ‱ 1 614 motsLorsque, au vie siĂšcle de notre Ăšre, l'empereur Justinien fit amener Ă  Constantinople les statues d'Isis qu'on adorait encore dans l'Ăźle de Philae, Ă  la premiĂšre cataracte, lorsqu'il emprisonna les derniers prĂȘtres de la dĂ©esse, il semblait vraiment que la civilisation de la vieille Égypte Ă©tait bel et bi [
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Toutefois, il est souvent observĂ© que mĂȘme de hauts fonctionnaires, Ă  titre posthume, portent seulement ce titre, signifiant alors la supĂ©rioritĂ©, mais gĂ©nĂ©ralement il est en prĂ©fixe d'autres, tels que gouverneur de province[2],[3] Parmi les titres connus par des inscriptions relevĂ©es dans leur sĂ©pulture[4], on trouve les fonctions occupĂ©es de leur vivant SupĂ©rieur des gardiens de sceaux Juge et chef des prĂ©posĂ©s au courrier Scribe du bureau des archives Chef des coiffeurs du palais dans l'entourage du pharaon Vizir tjaty sab tjaty, sorte de premier ministre, premier magistrat, il rend la justice de MaĂąt au nom de pharaon ; Porte-sandale, scribe particulier du roi chargĂ© de noter et de diffuser les dĂ©crets du pharaon ; Porte-enseigne tja seryt ; Porteur de l'Ă©ventail Ă  la droite du roi hebesou behet ; TrĂ©sorier, haut fonctionnaire responsable des rĂ©serves royales de mĂ©taux or, argent, cuivre, Ă©lectrum... et de la fiscalitĂ© concernant seulement les matiĂšres minĂ©rales, contrĂŽlant une partie de l'administration du pays ; SupĂ©rieur des greniers, haut fonctionnaire chargĂ© de gĂ©rer l'agriculture et de contrĂŽler la fiscalitĂ© agricole blĂ©, orge, papyrus, lin ; Directeur de la double maison blanche, fonctionnaire chargĂ© de prĂ©server et de gĂ©rer les rĂ©serves d'encens ; Directeur de la maison d'oliban, fonctionnaire chargĂ© de prĂ©server et de gĂ©rer les rĂ©serves d'oliban ; Directeur de la maison de myrrhe, fonctionnaire chargĂ© de prĂ©server et de gĂ©rer les rĂ©serves de myrrhe ; Scribe des comptes, scribe responsable de vĂ©rifier et de rentrer les revenus financiers du royaume ; Scribe de la table, scribe responsable de prĂ©parer les offrandes ; Scribe des archives royales, scribe ayant pour rĂŽle de trier, de classer, de noter, de conserver les Ă©vĂ©nements notables du pays, de la cour, de la famille du roi et bien entendu du pharaon lui-mĂȘme ; SupĂ©rieur des ritualistes, scribe ayant pour fonction de seconder Pharaon durant les rites et de noter les Ă©vĂ©nements au cours de ce rituel ; Chef des secrets, fonctionnaire chargĂ© de veiller et de conserver tout ce qui est liĂ© aux divinitĂ©s. Il est Ă©galement chargĂ© de noter tous les Ă©vĂ©nements extraordinaires que les anciens Égyptiens interprĂ©taient comme divin ; SupĂ©rieur de la maison de vie, fonctionnaire responsable des vieux manuscrits, le supĂ©rieur est Ă©galement chargĂ© de former les scribes. Le pharaon pouvait venir consulter des anciens papyrus car la maison de vie faisait office de bibliothĂšque sacrĂ©e ; Grand intendant, ce fonctionnaire n'Ă©tait pas vraiment un conseiller, il dirigeait et veillait Ă  ce que les ordres soit bien exĂ©cutĂ©s par les domestiques qui Ă©taient sous ses ordres ; grand directeur de Haute-Égypte ; supĂ©rieur des gardiens de sceaux, titre qui disparaĂźt aprĂšs Amenhotep III ; scribe du courrier royal ; juge et chef des prĂ©posĂ©s au courrier ; scribe du bureau des archives ; trĂ©sorier du dieu ; chef de l'administration du harem ; scribe de la porte du harem ; gardien des portes ; chef des coiffeurs du palais ; chef des barbiers ; enfant du Kep. dans l'armĂ©e chef des armĂ©es ; amiral de l'Empire chargĂ© de surveiller les navires de l'État ; directeur du dĂ©pĂŽt d'armes ; commandant en chef des recrues ; chef de troupe ; chef des MedjaĂż. dans les temples grand prĂȘtre de Ptah ; grand prĂȘtre d'Amon ; premier prophĂšte d'Amon ; second prophĂšte d'Amon ; troisiĂšme prophĂšte d'Amon ; quatriĂšme prophĂšte d'Amon ; divine adoratrice d'Amon ; chef des pesĂ©es de l'or d'Amon ; compteur des grains du grenier d'Amon ; premier prophĂšte d'Hathor ; chef des prĂȘtres-lecteurs ; prĂȘtre-sem. sur les chantiers directeur des travaux du roi ; chef des ouvriers du dieu ; serviteur dans la Place de VĂ©ritĂ©. dans les nomes rĂ©gisseur de la ville du Sud » ThĂšbes ; maire de Memphis ; directeur d'entrepĂŽt ; directeur des champs ; directeur des scribes des champs ; Divers membre de l'Ă©lite iry-pat etc. Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ Écrit sˁង, c'est plutĂŽt rĂ©servĂ© aux dĂ©funts, d'ailleurs momie » se dit Ă©galement sˁង ↑ Newberry, El Bersheh I,7,2 ; ib. 14,10 avec comme dĂ©terminatif ↑ ↑ La majoritĂ© de ces sĂ©pultures sont dans la vallĂ©e des Nobles sur la rive ouest du Nil face Ă  Louxor. Portail de l’Égypte antique DerniĂšre mise Ă  jour du contenu le 29/12/2020. Voici toutes les solution SĂ©pulture pour notable de l'Égypte antique. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par Fanatee. Êtes-vous Ă  la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planĂšte Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les rĂ©ponses pour ce jeu ci-dessous. La derniĂšre fonctionnalitĂ© de Codycross est que vous pouvez rĂ©ellement synchroniser votre jeu et y jouer Ă  partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont donnĂ©es par les dĂ©veloppeurs. Cette page contient des rĂ©ponses Ă  un puzzle SĂ©pulture pour notable de l'Égypte antique. SĂ©pulture pour notable de l'Égypte antique La solution Ă  ce niveau mastaba Revenir Ă  la liste des niveauxLoading comments...please wait... Solutions Codycross pour d'autres langues AkhethĂ©tep Nom en hiĂ©roglyphe PĂ©riode Ancien Empire Dynastie Ve dynastie Fonction Scribe Successeur Ptahhotep Tjefi Famille PĂšre Ptahhotep Enfants Ptahhotep Tjefi Séùnkhouptah RĂąkhouef, mĂ©decin chef AkhethĂ©tep, inspecteur des mĂ©decins SĂ©pulture Nom Mastaba d'AkhethĂ©tep Type Mastaba Emplacement Saqqarah Date de dĂ©couverte 1903 DĂ©couvreur Georges Aaron BĂ©nĂ©dite Fouilles 1991-2000 Fouilles du Louvre Ă  Saqqarah Objets Table d'offrande en granite Statue d'AkhethĂ©tep en scribe Statue d'AkhethĂ©tep assis Statue d'AkhethĂ©tep debout en costume sacerdotal Vase canope en calcite et son couvercle Vaisselle en pierre Outils lithiques AkhethĂ©tep est un dignitaire de l'Ancien Empire, cĂ©lĂšbre pour la tombe qu'il possĂšde Ă  Saqqarah dont la chapelle funĂ©raire est exposĂ©e depuis le XXe siĂšcle au MusĂ©e du Louvre. Son nom, qui signifie le Dieu de l'Horizon est parfait » ou L'Ɠil d'Horus est prĂ©servĂ© », est courant on lui connaĂźt plusieurs homonymes Ă  Saqqarah. Ses titres, peu significatifs, indiquent son rang et sa qualitĂ© de courtisan royal. Il exerçait quelques prĂȘtrises liĂ©es au monde mĂ©dical. GĂ©nĂ©alogie En dĂ©pit des dix-sept titres qu'il s'octroie dans les inscriptions de sa chapelle funĂ©raire, AkhethĂ©tep – notable de l'Égypte antique – conserve un certain mystĂšre. On ne sait pas Ă  quelle Ă©poque prĂ©cise il vivait, probablement Ă  la Ve dynastie[1], ni qui Ă©taient son Ă©pouse mais nous savons que son pĂšre est Ptahhotep, le cĂ©lĂšbre sage[rĂ©f. nĂ©cessaire]. Seuls trois de ses fils sont mentionnĂ©s dans sa tombe Séùnkhouptah, RĂąkhouef, mĂ©decin chef, et AkhethĂ©tep, inspecteur des mĂ©decins. Mais nous avons Ă©galement qu'il avait un autre fils, Ptahhotep Tjefi Ptahhotep II[rĂ©f. nĂ©cessaire]. SĂ©pulture Le mastaba d'AkhethĂ©tep se trouve le long de la chaussĂ©e d'Ounas et a Ă©tĂ© identifiĂ© et explorĂ© au dĂ©but de l'histoire du Service des antiquitĂ©s Ă©gyptiennes. La chapelle de culte du dignitaire, de petite dimension, a Ă©tĂ© offerte Ă  la France par l'Égypte et transportĂ©e au MusĂ©e du Louvre au dĂ©but du XXe siĂšcle. Puis la trace de la tombe a Ă©tĂ© perdue. À la fin du mĂȘme siĂšcle, le Louvre organisa alors une sĂ©rie de campagnes de fouilles, retrouva l'emplacement du tombeau et poursuivit son exploration. Ces missions, qui se succĂ©dĂšrent sur une dizaine d'annĂ©es, donnĂšrent une nouvelle moisson de dĂ©couvertes concernant le dignitaire, dont une sĂ©rie de statues ayant Ă©chappĂ© aux premiĂšres fouilles, ainsi que la dĂ©couverte Ă  proximitĂ© de l'emplacement de la tombe de toute une partie de la nĂ©cropole de Saqqarah encore inexplorĂ©e. Les fouilles de ce secteur se poursuivent encore de nos jours. Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ En effet, jusqu'Ă  prĂ©sent aucun relief portant la titulature d'un souverain n'a Ă©tĂ© retrouvĂ© dans la tombe d'AkhethĂ©tep. Cependant, le style de ses reliefs ainsi que le programme iconographique sont caractĂ©ristiques de la deuxiĂšme moitiĂ© de l'Ancien Empire, de plus un fragment de papyrus datant de DjedkarĂȘ IsĂ©si a Ă©tĂ© retrouvĂ© lors des fouilles rĂ©centes du mastaba fournissant un autre indice pour dater le monument Bibliographie Christiane Ziegler, Le Mastaba d’Akhethetep, une chapelle funĂ©raire de l’Ancien Empire, Paris, Ă©ditions RMN, 1993, 237 p. Christiane Ziegler dir., Le mastaba d’Akhethetep, Collection Fouilles du Louvre Ă  Saqqara », Vol. I, Paris, Ă©ditions MusĂ©e du Louvre/Peeters, 2007, 248 p. Voir aussi Mastaba d'AkhethĂ©tep Saqqarah Ve dynastie Portail de l’Égypte antique DerniĂšre mise Ă  jour du contenu le 21/02/2022.

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